Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai cette image en tête depuis quelque temps. Je n'arrive pas à m'en débarrasser. Et j'entends une voix qui me demande de la transmettre. Sans arrêt. Je vous jure. J'ai résisté, mais je n'en puis plus.
Voilà! C'est fait.
Ô chastes yeux, fermez-vous le temps que cette image délétère se noie dans le grand purgatoire du cyberespace.
Amen.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
1 commentaire:
Ton passé étant mon présent, je compatis. On aurait de la difficulté à se défaire d'une image moins marquante.
Je te remercie pour la transmission intemporelle. Mais en même temps, Éric, non.
Voilà.
Publier un commentaire