Chère lectrice,
j’ai voulu vérifier si j’avais été le premier à parler de la G-2.0. Je suis systématique quand il le faut. Emmanuelle Alba y est allé à fond de train et en moins de temps qu’il en faut pour retourner une crêpe (0,26 secondes!), elle a trouvé, sur Google, 8 490 000 mentions du terme. Rien que ça...
Hum! Réduisons nos attentes.
Chère lectrice,
je peux maintenant affirmer, sans me tromper, que j’ai été l’un des premiers. Bon, j’avoue, ce n’est pas aussi glorieux que d’être le premier, mais au moins je ne suis pas le dernier. Ha!
Je suis par contre le premier à faire de la G-2.0 : LTG.
Ce sera ma marque de commerce.
J’ai été tout de même étonné d’apprendre que des livres avaient déjà commencé à être publiés sur la question.
Ainsi, l’ineffable Ben Rigby, fondateur et pdg de Mobile Voter (rien de moins!), vient de rédiger un essai sur la G-2.0. Ça s’intitule Mobilizing Generation 2.0: A Practical Guide to Using Web 2.0. Technologies to Recruit Organize and Engage Youth. Je n’ai aucune intention de lire l’opuscule qui doit être tout aussi insignifiant que son titre. Mais quand même! À peine la génération existe-elle qu’on tente déjà de la mobiliser! C’est du virtuel concret pas à peu près...
Chère lectrice, il en est même question en long et en large sur Marcom Blog, le fameux site consacré à euh... bien disons à Marcom Aix.
Je pourrais vous résumer la chose, mais je préfère livrer les réflexions de ce cher Marcom dans une traduction signée Babel Fish. J’aime bien ces traducteurs automatiques... Ils nous livrent une marchandise très G-2.0. Tout croche, tout de travers.
Or donc, voici ce que le monsieur dit (et je ne peux m'empêcher de mettre en caractère gras les perles):
« L'avez-vous vu ou lui avez-vous senti ? Quelque chose se produit. C'est réellement une expression populaire sur les rues de Silicon Valley de nos jours. Mais ce n'est pas une côte gauche, bonne chose de côte.
Vous êtes, nous sommes, impliqué dans une transformation de la proportion épique (vous avez vu ceci ainsi un léger calembour est prévu, et des travaux donné le contexte de ce poteau).
Au milieu des générations marquées baby boom, X, et Y, là a émergé une place des individus qui est changeante et rétablissante les « affaires » dans le concept des 'affaires comme d'habitude,' que nous le savons. »
Chère lectrice, ne me demandez même pas ce que cela veut dire.... Même avec le protocole TRANSLIT, je n’arrive pas à des résultats aussi sidérants.
« Ils représentent un espoir attachés à un bourdonnement toujours croissant autour de ce qui est possible. Une nouvelle main d'oeuvre est programmée et la main d'oeuvre reprogrammée-un qui a été transformée par l'innovation ; une main d'oeuvre qui transformera des industries comme nous les savons (affaires, médias, P.R.).
Ils ne seront pas marqués avec une lettre, mais plutôt un nombre de version. Comme le cycle du développement de produit dans le monde de la technologie (désolée, je suis un type de P.R. de technologie), ils reflètent une transition de la première version à la prochaine génération-version 2.0. Pas GEN-X, pas GEN-Y, mais génération 2.0.
Outre de la manchette et nullement complet, laissez-nous considèrent les 2.0 grande image. Le développement du Web 2.0 (technologie) alimente l'environnement des affaires 2.0 (affaires), qui autorise alternativement de nouveaux producteurs de médias (des goûts des Un-listeuses comme Scoble et Battelle même aux zz-listeuses les plus obscures comme me ou améliorez pourtant ma soeur et son armée des amis de MySpace). »
Voilà.
Ne me remerciez pas. Maintenant vous savez tout. C’est transcendant.
Je vous le dis, la G-2.0 raflera tout sur son passage.
Et je ferai taire les sceptiques.
mercredi 30 avril 2008
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