mercredi 13 août 2008

Culs de sac


Parfois je me sens comme un page blanche. Et quelqu’un me presse d’y écrire le plus rapidement une réponse. Mais je ne sais pas quelle est la question. Quelle est la question?
That is the question...

Je me sens, pus précisément, comme le plan d’un ville dont tous les noms auraient été retirés. Un plan en noir et blanc et les traits dessinent l’emboîtement des rues et des parcs. On peut se perdre dans la contemplation d’un tel plan. Nos yeux suivent des lignes qui se brisent. Le moindre quartier se transforme en un labyrinthe intéressant dont on peut investir l’architecture de ses propres desseins.

Mais où mènent ces rues anonymes? Quelle est leur fin? Celle-ci est suspendue. Comme une destinée qui aurait été immobilisée en pleine course.
Mais je persévérerai. I will survive, comme chantait l’autre en son temps (bon, c,est vrai le hit a été repris à répétition!).
Je suis plus fort que le courant que je remonte d’un crawl puissant.
Il y a des matins comme ça.

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