mercredi 24 décembre 2008

...sur le bout de la...

Il n’y a plus aucun moyen de savoir cela reste flou approximatif sur le bout de la au cœur de la une pensée il n’y a plus moyen parce que quand on avait les moyens de comprendre on ne se faisait pas entendre et parce quand se trouve expulsé quand les arbres tombent sur les toits rouges de la villa conscience est une plante lourde et le tronc cède cède cesse de sentir le l’autre cesse de le voir le l’autre il n’y a plus moyen à quand oh! à quand là quand il disparaît les moyens de comprendre de savoir de demander de comprendre de quand rien ne paraît la musique est trou



Penser en permanence penser sentir je ne me sens il n’y a plus moyen je suis sans sens sans le l’autre le l’autre ne s’en va pas sur le bout de la sur le la au cœur de la le l’autre ne pas ne pas ne quitte pas l’île une pensée est la seule réalité la seule île le l’autre ne le sait pas ne le voit pas mais le l’autre a senti il a flairé flairé flairé et le l’autre a sur le bout de la au cœur une pensée

(On dirait vraiment une expérience avec le protocole Translit qui a mal tourné...)

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Oui, probablement il est donc